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  • : Le blog de mon-epilepsie-et-mes-passions.over-blog.com
  • : Faire connaître la pathologie dont je souffre depuis l'enfance et qui est si tabou.
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  • paulo jorge alves da costa
  • Je suis épileptique et n'ayant pas beaucoup d'amis je souhaiterais m'en faire quelques uns à travers ce blog.

Présentation de mon recueil de poésies

couverture livreVoici mon recueil de poésies dont je vous avais parlé il y a quelques mois intitulé Ma Vie En Poésie.

Je vous le présente en avant première tel que vous pourrez le trouver en vente lors de sa mise en vente qui devrait être fixée au plus tard début avril au prix de 16.50€ aux éditions Mélibée dont je vous ai mis le lien ici dessous.

J'espère que j'arriverais à en vendre quelques uns

http://www.editions-melibee.com/

 

ISBN 978-2-36252-298-7

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 20:34

Allongés dans un jardin fleuri

 

 

Allongés dans un jardin fleuri,

Nous nous sommes assoupis.

 

Alors que nous étions encore un peu étourdis,

Nous fûmes surpris comme en flagrandéli.

 

Comme si nous avions défié tout interdit,

Ces yeux qui nous fusillent.

 

Soudain un soleil de braise nous apaise,

Et nous partîmes cueillir des fraises.

 

Puis une légère brise me fit tomber,

La chemise et nous fîmes des choses pas permises.

 

Quand la lune se leva elle fut surprise,

De nos ébats et de telles gourmandises.

 

Alors tu fus conquise par une si belle marchandise,

Si durement acquise telle une terre promise.

 

Ainsi suis-je fait comme personne ne me connaissait.

 

Paulo Jorge Alves Da Costa.

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 16:50

Assis dans mon jardin secret.

 

 

Assis dans mon jardin secret,

Nous sommes tous les deux enlacés,

Des amoureux en train de s’embrasser.

 

Par un bel après-midi ensoleillé,

Je te fais découvrir ce lieu sacré,

Dans lequel un jour je me suis éveillé.

 

Dans une douce nuit d’été étoilée,

Je me surpris à contempler,

Ce lieu si parfait où je me sent protégé.

 

Et que maintenant à toi j’ai finalement révélé,

Un lieu bien imagé où j’y ai planté,

Des fleurs et des plantes tel un vrai compte de fée.

 

Cet endroit où jour ma vie a basculé,

Où l’être que je suis s’est enfin révélé,

A toi mon doux brin de muguet.

 

Toi qui fais que mes journées,

Sont toujours ensoleillées,

Comme si on était toujours en juillet.


Paulo Jorge Alves Da Costa.

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 17:24

 

 

 

 

 

Bonjour mes amis et amies voici ma modeste contribution au thème proposé cette semaine.

Cela ne fut pas facile de faire un choix pour ce thème car les chansons que j'ai écouté étaient toutes plus belles les unes que les autres alors je vous souhaite une bonne écoute en espérant que ça vous plaise.

 


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10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 19:41

Sensuelle.

 

 

Te croisant dans une ruelle,

Toi ma douce tourterelle,

Je laisse ta beauté naturelle.

 

Eblouir mes prunelles,

Contemplant ton corps si sensuel,

Et charnel tel de la flanelle.

 

T’offrant une douce lingerie en dentelle,

J’en oublie mon état émotionnel,

Et te propose un petit rituel.

 

Même si mes pensées sont un peu plus sexuelles,

Je n’ai pas besoin de manuel,

Juste besoin de quelque chose de bien réel.

 

En fait une relation inhabituelle,

Assez exceptionnelle et traditionnelle,

Mais également ponctuelle.

 

Paulo Jorge Alves Da Costa.

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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 19:49

Toi ma belle.

 

 

Toi si douce telle une hirondelle,

Toi le parfum de mon cœur éternel,

Ta peau si douce et sensuelle.

 

Toi si sexy ma demoiselle,

Tes yeux si doux tels une étincelle,

Ta peau plus sucrée qu’une mirabelle.

 

Toi qui me rends plus doux et moins cruel,

Toi qui me caresses de tes ailes si frêles,

Toi mon hirondelle, toi l’être à qui je reste fidèle.

 

Je m’imagine t’embrassant comme si je dégustais une coupelle,

De champagne lors d’un diner aux chandelles,

Me sentant un peu pêle-mêle.

 

Je me laisse porter par cette nuit exceptionnelle,

Mon cœur jouant une mélodie démentielle,

Mieux que si c’était du Brel.

 

Je deviens presque irrationnel,

Car je sors du traditionnel,

Toi mon âme jumelle.

 

A qui je me révèle,

Dégrafant les bretelles,

De ce vêtement qui cache ce qui te rend si désirable et belle.

 

Paulo Jorge Alves Da Costa.

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 15:41

Le Voyeur.

 

 

Tel un bafouilleur,

Je cherche mon bonheur,

Tout au fond de mon cœur.

 

Aux mille et une senteurs,

Comme chez un parfumeur,

Je repère mes erreurs.

 

Pour éviter ce secteur,

Recherchant l’âme-sœur,

Celle que je couvrirais de fleurs.

 

Tes ardeurs font de moi un homme meilleur,

Même si mes yeux ne se détachent pas de ton tailleur,

Tel un horrible voyeur je te contemple de toute ta splendeur.

 

Toi l’être si charmeur,

Toi qui es mon moi intérieur,

Je me fais ton serviteur.

 

Paulo Jorge Alves Da Costa.

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 18:39

Séduction.

 

 

Envahit d’une énorme affection,

L’empêchant de toute réflexion,

Il fut pris d’une totale incompréhension.

 

N’osant pas lui déclarer sa passion,

Il s’enferma dans ses ambitions,

Ce qui par moments lui vaudront quelques complications.

 

Et surtout de grandes contradictions,

Il cultive intérieurement une grande séduction,

Qu’il laissera transparaitre un jour tel un énorme tourbillon.

 

Alors à ce moment là il n’y aura plus aucune frustration,

Il regardera avec compassion,

Ceux qui l’auront souvent abaissé à toute soumission.

 

Alors ce que nous n’affichions pas,

Nous l’assumerons,

Sans la moindre condition.

 

Et finalement je sortirais de cette intoxication,

Que je subis telle une agression,

Presque comme une arrestation.

 

Alors je dépasserais toute accusation,

Et surmonterais toutes mes appréhensions,

Puis j’entamerais une réconciliation.

 

Paulo Jorge Alves Da Costa.

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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 16:35

Le Temps Qui Passe.

 

 

Alors que tout m’agace,

Seul ton souvenir reste à sa place,

Alors je rêve que je t’embrasse.

 

Et t’enlace sans la moindre farce,

Nous deux assis sur une terrasse,

Dégustant une glace.

 

Regrettant les années qui passent,

M’interrogeant sur comment sortir de cette impasse,

Quand tout me lace je me surpasse.

 

Pour faire l’impasse et retrouver ma place,

Le temps cependant me surprend,

Tel un hurlement ou un choc violent.

 

Moi l’être fragile et aimant,

A qui parfois les évènements,

Me glacent les sangs.

 

Alors j’en reste tout frissonnant,

Alors au fil du temps j’apprends,

A faire face, même si parfois je reste encore ignorant.

 

Heureusement ton visage souriant,

Illumine ma vie à chaque moment,

Toi l’être doux et aimant.

 

Tes baisers plus apaisants,

Que n’importe quel calmant,

Moi modeste débutant.

 

Parfois incontrôlable tel un volcan,

Profitant de chaque instant,

Alors nos deux corps jouissants.

 

Se rapprochant l’un de l’autre lentement,

Ils découvrent deux corps différents en les dénudant,

Voici l’histoire d’un amour ardant.

 

Paulo Jorge Alves Da osta.

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23 juin 2012 6 23 /06 /juin /2012 15:30

 

Mes amis (es) du net alors que j’écoute cette belle chanson de Jean-Jacques Goldman je découvre son véritable sens.

 Il m’aura fallut de longs mois pour apprendre que certaines musiques transmettent de magnifiques messages même si parfois ils peuvent faire souffrir et nous mettre en larmes mais au final lorsqu’on en arrive à ce niveau de compréhension sans vouloir me vanter ni dénigrer personne de vous mes amis (es) moi je me découvre et pour une fois dans ma triste vie je m’aime de plus en plus car je me trouve exceptionnel car j’apprends à m’émerveiller face à ces petites choses de la vie, mais rien de tout ça n’aurait été possible sans l’aide d’une amie bloggeuse qui m’aura vraiment aidé à apprécier la personne que je suis.

Je ne citerais pas son nom mais si elle me lit elle se reconnaitra j’en suis sûr car sans elle tout ça n’aurait aucun sens car c’est grâce à elle que j’ai enfin compris que les oreilles les plus importantes et les plus puissantes qui existent en nous sont celles de notre cœur car ce sont les seules qui ne nous trahissent jamais, il suffit bien souvent d’un rien pour qu’elles s’expriment et nous fassent comprendre ce que l’on ne voudra jamais comprendre parfois par ignorance, parfois par peur, parfois même par honte ou encore par peur de devoir admettre que l’on peut avoir tord et là je ne vous cite que quelques exemples.

Moi depuis quelques temps déjà je suis en pleine remise en question comme j’en parlais dans l’un de mes poèmes et là je me heurte à une difficulté qui est de laisser mes émotions s’exprimer librement car je n’ai pas été conditionné dans ce sens là alors je me métrise constamment au lieu de lâcher prise parfois car cela me ferait beaucoup de bien.

Alors s’il y en a parmi vous qui me lisent et qui ne me jugent pas je leur demanderais de m’aider en me donnant quelques conseils.

Je vous mets ici joint le lien musical auquel je fais allusion.

 

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 18:01

La Gentillesse.

 

 

Ayant quelques faiblesses,

Qui parfois me dessèchent,

Et confondant vitesse et adresse.

 

J’essaie de faire preuve de souplesse,

Pour découvrir de nouvelles richesses,

Et essayant de faire preuve de politesse.

 

Je décompresse pour révéler ma tendresse,

Tel un personnage que l’on méconnaisse,

Je progresse mais jamais ne m’abaisse.

 

Evitant toute indélicatesse,

J’en oublie parfois ma jeunesse,

Qui bien souvent manqua de finesse.

 

Car souvent les personnes manquant de gentillesse,

Me blessent avec une grande indélicatesse,

Comme si on m’atteignait avec une flèche.

 

Paulo Jorge Alves Da Costa.

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