Voici mon recueil de poésies dont je vous avais parlé il y a quelques mois intitulé Ma Vie En Poésie.
Je vous le présente en avant première tel que vous pourrez le trouver en vente lors de sa mise en vente qui devrait être fixée au plus tard début avril au prix de 16.50€ aux éditions Mélibée dont je vous ai mis le lien ici dessous.
J'espère que j'arriverais à en vendre quelques uns
http://www.editions-melibee.com/
ISBN 978-2-36252-298-7
En clin,
Je ne plains,
Je n'ai pas de copains,
Mes efforts en vain,
De mots doux j'ai faim,
Tu es là seule à me prendre la main,
Je t'offre mon seul bouquin.
Qu'est-ce que l'on trouve une fois dans une minute ?
Deux fois dans un moment ?
Mais jamais dans une heure ?
Toi ma dulcinée.
Nos regards se sont croisé,
Et mon cœur s’est enflammé,
Sur tes lèvres un baiser j’y ai déposé.
Dans tes bras tu m’as enlacé,
Ma vie fut illuminée,
Dans tes yeux des étoiles brillaient.
Et je fut totalement bouleversé,
Notre relation entammée,
Je n’en fut que plus comblé.
Ces quelques vers tu m’as inspiré,
De ton charme tu m’as ensorcelé,
Librement mes sentiments se sont exprimé.
Une flamme soudain s’est allumé,
Mon inspiration enfin retrouvée,
Feuille blanche fut complétée.
Comme si telle était notre destinée,
Un nouveau chapitre est commencé,
Ton sourire m’a charmé.
Tu ne m’as jamais jugé,
Tel que je suis tu m’as accepté,
De suite je t’ai aimé.
Bien souvent on a rigolé,
La nuit fut souvent pertubée,
De toi j’ai souvent rêvé.
Dans mes pensées tu es toute la journée,
Ton visage en moi s’est gravé,
Tu es belle comme un bijou diamanté.
Paulo Jorge Alves Da Costa.
Dédicace à mes parents.
L’été est arrivé,
Et je ne t’ai pas oublié,
Les jours écoulés.
Ma gorge souvent nouée,
Les mots m’ont échappé,
Et tu fut blessée.
Agité j’ai souvent culpabilisé,
Enfant grandissant tu ne l’as pas accepté,
De ton amour tu m’as emprisonné.
Ne me sentant plus respirer,
Je me suis souvent révolté,
Et tu t’es senti agressée.
Les choses autrement auraient pu se passer,
Ces quelques mots je souhaite te dédier,
En remerciement pour ce que tu m’as enseigné.
Toutes ces années mes sentiments,
Restèrent cachés sans se manifester,
Un peu comme une histoire inachevée.
Petit oiseau s’est envolé,
Défiant tous les dangers,
Dans l’inconnu il s’est aventuré.
Même s’il ne fut pas encouragé,
Mes sentiments ce sont imposé,
Sans pouvoir les maitriser.
Mes parents j’ai toujours aimé,
Sans jamais leur montrer
Alors je me suis éloigné.
Paulo Jorge Alves Da Costa.
L’été est arrivé,
Et je ne t’ai pas oublié,
Les jours écoulés.
Ma gorge souvent nouée,
Les mots m’ont échappé,
Et tu fut blessée.
Agité j’ai souvent culpabilisé,
Enfant grandissant tu ne l’as pas accepté,
De ton amour tu m’as emprisonné.
Ne me sentant plus respirer,
Je me suis souvent révolté,
Et tu t’es senti agressée.
Les choses autrement auraient pu se passer,
Ces quelques mots je souhaite te dédier,
En remerciement pour ce que tu m’as enseigné.
Toutes ces années mes sentiments,
Restèrent cachés sans se manifester,
Un peu comme une histoire inachevée.
Petit oiseau s’est envolé,
Défiant tous les dangers,
Dans l’inconnu il s’est aventuré.
Même s’il ne fut pas encouragé,
Mes sentiments ce sont imposé,
Sans pouvoir les maitriser.
Mes parents j’ai toujours aimé,
Sans jamais leur montrer,
Alors je me suis éloigné.
Paulo Jorge Alves Da Costa.
Toi ma cherie.
Toi ma chérie,
Grâce à qui j’ai grandi,
Et je me suis épanoui.
J’ai exprimé mes désirs enfouis,
Sur mes lèvres un sourire jaillit,
Par une nuit étoilée je t’ai surpris.
Et sous une cascade nous nous sommes rafraichis,
Le véritable amour grâce à toi je découvris,
Dans tes bras je me suis blotti.
De baisers je te couvris,
Ces quelques je te dédie,
Toi l’être que jamais je n’oublie.
Grâce à toi ma vie s’embellit,
L’espoir ressurgit telle une accalmie,
Grâce à toi je me sent accompli.
Je resplendis comme il n’est pas permis,
Mon ciel s’est soudain éclaircit,
Tu es apparut dans ma vie comme une douce mélodie.
Grâce à toi bien des choses j’aurais compris,
Et appris tel un jeune apprenti,
Face à la dure école de la vie.
Toi ma chérie,
Grâce à qui j’ai grandi,
Et je me suis épanoui.
J’ai exprimé mes désirs enfouis,
Sur mes lèvres un sourire jaillit,
Par une nuit étoilée je t’ai surpris.
Et sous une cascade nous nous sommes rafraichis,
Le véritable amour grâce à toi je découvris,
Dans tes bras je me suis blotti.
De baisers je te couvris,
Ces quelques je te dédie,
Toi l’être que jamais je n’oublie.
Grâce à toi ma vie s’embellit,
L’espoir ressurgit telle une accalmie,
Grâce à toi je me sent accompli.
Je resplendis comme il n’est pas permis,
Mon ciel s’est soudain éclaircit,
Tu es apparut dans ma vie comme une douce mélodie.
Grâce à toi bien des choses j’aurais compris,
Et appris tel un jeune apprenti,
Face à la dure école de la vie.
Paulo Jorge Alves Da Costa.
Telle une fontaine.
Telle une fontaine,
Parfois je me déchaine,
Et déborde quand trop pleine.
Souvent rempli de haine,
J’ai d’horribles migraines,
Pourtant tout s’enchaine.
Malgré tout j’en prends de la graine,
Car je ne suis pas en porcelaine,
Certes je n’ai pas une forme olympienne.
J’ai juste besoin de changer d’oxygène,
De retrouver une vie plus homogène,
Mettant ma boite crânienne au repos.
Le temps de reprendre haleine,
Jusqu’à ce que je comprenne,
Qu’est ce qui fait que l’on m’entraîne.
Vers des contrées lointaines,
Faisant de moi une chose inhumaine,
Insensible et si vilaine.
Alors tout espoir est une eau beine,
De manière à voir les choses plus sereines,
Cette histoire nouant mon abdomen.
Paulo Jorge Alves Da Costa.
Bonheur.
Même si je suis râleur,
Je cache beaucoup de douleurs,
Recherchant désespérément le bonheur.
Tel le parfum d’une fleur,
Au fond de mon cœur se cache une grande chaleur,
Que je garde précieusement pour l’âme-sœur.
Celle qui chassera mes terreurs,
Moi qui suis modeste pêcheur,
Me faisant beaucoup de frayeurs.
M’efforçant d’affronter mes terreurs,
Même si parfois je dévie de ce secteur,
Un peu comme un mauvais bricoleur.
Je recherche simplement un semblant de douceur.
Paulo Jorge Alves Da Costa.
Overdose.
En pleine métamorphose,
Je m’affirme et impose,
Même si parfois j’implose.
En pleine overdose,
J’en ai ma dose,
Enfermé dernière des portes closes.
Tel une rose on m’expose,
Je ne me prends pas pour un virtuose,
Je veux juste vivre en parfaite symbiose.
Recherchant la cause,
De mes journées moroses,
J’ose et m’oppose.
A toutes choses pourtant grandioses.
Paulo Jorge Alves Da Costa.