Le Voyeur.
Tel un bafouilleur,
Je cherche mon bonheur,
Tout au fond de mon cœur.
Aux mille et une senteurs,
Comme chez un parfumeur,
Je repère mes erreurs.
Pour éviter ce secteur,
Recherchant l’âme-sœur,
Celle que je couvrirais de fleurs.
Tes ardeurs font de moi un homme meilleur,
Même si mes yeux ne se détachent pas de ton tailleur,
Tel un horrible voyeur je te contemple de toute ta splendeur.
Toi l’être si charmeur,
Toi qui es mon moi intérieur,
Je me fais ton serviteur.
Paulo Jorge Alves Da
Costa.